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Mieux connaître… Les I.P.A., Infirmier·e·s en pratique avancée

 

Principe

Études

Compétences

Rémunération et cadre conventionnel

Cadre légal

Champs d’application

ANNEXES

Principe

Un nouveau métier va voir le jour : l’infirmier·ère exerçant en pratique avancée (IPA).

Un cursus spécifique est créé depuis la rentrée universitaire de septembre 2018.

Ces IPA vont, à terme, modifier l’exercice de notre profession de médecin généraliste pour ceux qui travailleront avec eux au sein d‘équipes de soins primaires ou de maisons de santé pluri-professionnelles.

Études

La formation conduisant au diplôme d’Etat d’infirmier en pratique avancée est structurée en quatre semestres validés par l’obtention de 120 crédits européens et confère à son titulaire le grade de master.

Pour mémoire, les études en soins infirmiers sont réparties sur trois années. La formation est organisée en enseignements théoriques (divisés en unités d‘enseignement, les UE) et pratiques (les stages) à raison de 4 200 heures en totalité. La formation est de niveau licence.

Les enseignements conduisant au diplôme d’Etat d‘IPA comprennent des enseignements théoriques, méthodologiques, appliqués, pratiques et cliniques ainsi que l’accomplissement de stages. Ces enseignements comportent une initiation à la recherche, un enseignement de langue vivante étrangère et un enseignement conforme aux référentiels nationaux de compétences en vigueur. Ils tiennent compte des priorités de santé publique.

A l‘issue de la formation, l‘IPA se voit attribuer une mention, selon l‘option choisie durant son cursus, parmi les domaines d‘intervention suivants :

  • pathologies chroniques stabilisées ; prévention et poly-pathologies courantes en soins primaires ;
  • oncologie et hémato-oncologie ;
  • maladie rénale chronique, dialyse, transplantation rénale.

Accès à la formation

Peuvent prétendre à la formation conduisant au diplôme d’Etat d’IPA les candidats justifiant soit du diplôme français d’Etat d’infirmier ou d’un diplôme issu de l’espace économique européen (liste disponible dans les articles L. 4311-3 ou L. 4311-12 du Code de la Santé publique).

Le diplôme d’Etat d’IPA est ouvert en formation initiale et en formation professionnelle continue, avec notamment la possibilité de bénéficier des dispositifs de validation des acquis de l‘expérience (VAE).

Les deux premiers semestres de la formation conduisant au diplôme d’Etat d’infirmier en pratique avancée correspondent à un tronc commun d’enseignement. A l’issue du deuxième semestre, les étudiants confirment le choix de leur mention qui fait l’objet d’enseignements spécifiques des troisième et quatrième semestres.

Durant leur formation, les étudiants accomplissent deux stages dans des terrains de stage situés auprès d’établissements de santé publics, privés d’intérêt collectif et privés, de professionnels de santé exerçant en pratique de ville, d’autres services de santé de type réseaux de santé ou de centres de santé et maisons de santé :

– un stage d’une durée minimum de deux mois au cours du deuxième semestre de formation

– un stage d’une durée minimum de quatre mois, au cours du quatrième semestre de formation, dont les objectifs sont en lien direct avec la mention suivie.

L’accès à la formation peut se faire au premier semestre ou au troisième semestre de la formation. L’accès direct en semestre trois est réservé aux titulaires du diplôme d’Etat d’infirmier en pratique avancée qui veulent changer de domaine d’intervention.

Modalités d’obtention du diplôme

Le diplôme d’Etat d’IPA est délivré aux étudiants qui ont validé l’ensemble des enseignements, des stages et soutenu avec succès le mémoire de fin de formation.

Le mémoire donne lieu à une soutenance publique.

Compétences

L’infirmier·ère exerçant en pratique avancée dispose de compétences élargies, par rapport à celles de l’infirmier·ère diplômé d’Etat.

L’IPA participe à la prise en charge globale des patients dont le suivi lui est confié par un médecin.

La conduite diagnostique et les choix thérapeutiques sont définis par ce médecin et mis en œuvre dans les conditions du respect du parcours de soins. Celui-ci est coordonné par le médecin traitant. L’IPA apporte son expertise et participe, en collaboration avec l’ensemble des professionnels concourant à la prise en charge du patient, à l’organisation des parcours entre les soins de premier recours, les médecins spécialistes de premier ou deuxième recours et les établissements et services de santé ou médico-sociaux.

Les domaines d’intervention ouverts à l’exercice infirmier en pratique avancée, dont la mention correspondante est inscrite dans le diplôme d’Etat d’infirmier en pratique avancée, sont les suivants :

  • Pathologies chroniques stabilisées ; prévention et poly-pathologies courantes en soins primaires :
    • accident vasculaire cérébral ;
    • artériopathies chroniques ;
    • cardiopathie, maladie coronaire ;
    • diabète de type 1 et diabète de type 2 ;
    • insuffisance respiratoire chronique ;
    • maladie d’Alzheimer et autres démences ;
    • maladie de Parkinson ;
    • épilepsie.
  • Oncologie et hémato-oncologie
  • Maladie rénale chronique, dialyse, transplantation rénale.

Rémunération et cadre conventionnel

À ce jour, la question de la rémunération des IPA reste en suspens.

Plusieurs modalités sont évoquées : du salariat dans les établissements de santé, centres de santé et maisons de santé, ou du libéral, via une rémunération spécifique (forfaitaire ?). Les textes de loi et les négociations conventionnelles sont encore en attente.

La réflexion devrait aboutir courant 2019.

Cadre légal

L’infirmier·ère est autorisé·e à exercer en pratique avancée dans l’un des domaines d’intervention prévus s’il/elle remplit les conditions suivantes :

  • Obtenir le diplôme d’Etat d’infirmier·ère en pratique avancée délivré par les universités dans la mention correspondant au domaine d’intervention ;
  • Justifier de trois années minimum d’exercice en équivalent temps plein de la profession d’infirmier ;
  • Être enregistré·e auprès du service ou de l’organisme désigné à cette fin par un arrêté du Ministre chargé de la Santé.

Champs d’application

L’infirmier·ère exerçant en pratique avancée est compétent·e pour conduire un entretien avec le patient qui lui est confié, effectuer une anamnèse de sa situation et procéder à son examen clinique.

L’infirmier·ère exerçant en pratique avancée peut :

1- Conduire toute activité d’orientation, d’éducation, de prévention ou de dépistage qu’il juge nécessaire

2- Effectuer tout acte d’évaluation et de conclusion clinique ou tout acte de surveillance clinique et para-clinique, consistant à adapter le suivi du patient en fonction des résultats des actes techniques ou des examens complémentaires ou de l’environnement global du patient ou reposant sur l’évaluation de l’adhésion et des capacités d’adaptation du patient à son traitement ou sur l’évaluation des risques liés aux traitements médicamenteux et non médicamenteux

3- Effectuer les actes techniques et demander les actes de suivi et de prévention inscrits sur les listes établies par arrêté du Ministre chargé de la Santé, après avis de l’Académie nationale de médecine

4- Prescrire :

  • des médicaments non soumis à prescription médicale obligatoire ;
  • des dispositifs médicaux non soumis à prescription médicale obligatoire ;
  • des examens de biologie médicale dont la liste est établie par arrêté du Ministre chargé de la Santé (liste en annexe)
  • renouveler, en les adaptant si besoin, des prescriptions médicales dont la liste est établie par arrêté du Ministre chargé de la Santé.

Dans le cadre du travail en équipe entre le ou les médecins et le ou les IPA un protocole d’organisation est établi.

Ce protocole précise :

  • le ou les domaines d’intervention concernés ;
  • les modalités de prise en charge par l’infirmier·ère exerçant en pratique avancée des patients qui lui sont confiés ;
  • les modalités et la régularité des échanges d’information entre le médecin et l’infirmier·ère exerçant en pratique avancée ;
  • les modalités et la régularité des réunions de concertation pluri-professionnelle destinées à échanger sur la prise en charge des patients concernés ;
  • les conditions de retour du patient vers le médecin.

Le protocole d’organisation est signé par le ou les médecins et le ou les IPA. Le protocole est porté, le cas échéant, à la connaissance de l’ensemble de l’équipe de soins.

Le médecin, après concertation avec le ou les IPA, détermine les patients auxquels un suivi par un IPA est proposé. Cette décision est prise après examen du dossier médical du patient et en référence aux compétences attestées par le diplôme d’Etat de l’IPA, délivré par l’université.

Le médecin et l’IPA partagent les informations nécessaires au suivi du patient. Les résultats des interventions de l’IPA sont reportés dans le dossier médical et le médecin en est tenu informé. La transmission de ces informations se fait par des moyens de communication sécurisés.

Lorsque l’infirmier·ère exerçant en pratique avancée constate une situation dont la prise en charge dépasse son champ de compétences, il/elle adresse le patient sans délai au médecin et en informe expressément ce dernier afin de permettre une prise en charge médicale dans un délai compatible avec l’état du patient.

Le médecin informe le patient des modalités prévues de sa prise en charge par l’IPA. Ces modalités figurent dans un document versé au dossier médical du patient.

Ce document précise la composition de l’équipe, la fréquence à laquelle le médecin souhaite revoir le patient en consultation et les conditions de retour vers le médecin, sur décision de l’infirmier exerçant en pratique avancée

Le droit de refus par le patient d’être suivi par l’IPA sans conséquence est bien sûr souligné.

ANNEXES

Les textes 

Décret n°2018-629 du 18 juillet 2018 relatif à l’exercice infirmier en pratique avancée

Arrêté du 18 juillet 2018 fixant la liste des pathologies chroniques stabilisées prévue à l’article R. 4301-2 du code de santé publique

Arrêté du 18 juillet 2018 fixant les listes permettant l’exercice infirmier en pratique avancée en application de l’article R. 4301-3 du code de santé publique

Décret n°2018-633 du 18 juillet 2018 relatif au diplôme d’État d’infirmier en pratique avancée

Arrêté du 18 juillet 2018 relatif au régime des études en vue du diplôme d’État d’infirmier en pratique avancée

Liste des actes techniques que l’infirmier exerçant en pratique avancée est autorisé à effectuer sans prescription médicale et, le cas échéant, à en interpréter les résultats pour les pathologies dont il assure le suivi

  • Réalisation d’un débitmètre de pointe.
  • Holter tensionnel, prélèvements de sang par ponction veineuse ou capillaire ou par cathéter veineux.
  • Prélèvements de sang par ponction artérielle pour gazométrie.
  • Prélèvements non sanglants effectués au niveau des téguments ou des muqueuses directement accessibles.
  • Prélèvements et collecte de sécrétions et d’excrétions.
  • Recueil aseptique des urines.
  • Réalisation et surveillance de pansements spécifiques.
  • Ablation du matériel de réparation cutanée.
  • Pose de bandages de contention.
  • Ablation des dispositifs d’immobilisation et de contention.
  • Renouvellement et ablation des pansements médicamenteux, des systèmes de tamponnement et de drainage, à l’exception des drains pleuraux et médiastinaux.
  • Pose de sondes vésicales en vue de prélèvement d’urines, de lavage, d’instillation, d’irrigation ou de drainage de la vessie, sous réserve des dispositions du troisième alinéa de l’article R. 4311-10.
  • Pose de sondes rectales, lavements, extractions de fécalomes, pose et surveillance de goutte-à-goutte rectal.
  • Appareillage, irrigation et surveillance d’une plaie, d’une fistule ou d’une stomie.
  • Branchement, surveillance et débranchement d’une dialyse rénale, péritonéale ou d’un circuit d’échanges plasmatique.

Liste des actes de suivi et de prévention que l’infirmier exerçant en pratique avancée est autorisé à demander, pour les pathologies dont il assure le suivi

  • Conseils hygiéno-diététiques adaptés.
  • Examen de la vision, épreuves fonctionnelles sur l’œil.
  • Rétinographie avec ou sans mydriase.
  • Electrocardiographie (ECG) de repos.
  • Mesure des pressions intravasculaires périphériques par méthode non effractive (Holter tensionnel, Tilt test).
  • Explorations fonctionnelles de la respiration.
  • Electro-encéphalographie.
  • Examens d’imagerie nécessaires au suivi du patient.
  • Échographie-doppler des troncs supra-carotidiens.
  • Doppler du greffon.
  • Débit de fistule artério-veineuse.

Liste des dispositifs médicaux non soumis à prescription médicale obligatoire que l’infirmier exerçant en pratique avancée est autorisé à prescrire.

  • Aide à la déambulation : cannes, béquilles, déambulateur, embouts de canne.
  • Aide à la fonction respiratoire : débimètre de pointe.
  • Fauteuils roulants à propulsion manuelle de classe 1, à la location pour des durées inférieures à 3 mois.
  • Prothèse capillaire.
  • Prothèse mammaire externe.

Liste des examens de biologie médicale que l’infirmier exerçant en pratique avancée est autorisé à prescrire pour les pathologies dont il assure le suivi

HEMATOLOGIE :

Hémogramme (numération des hématies, des leucocytes et des plaquettes, dosage de l’hémoglobine, hématocrite, volume globulaire moyen, paramètres érythrocytaires, formule leucocytaire).

IMMUNOLOGIE :

– Phénotype HLA classe I (dans le cadre du domaine d’intervention en néphrologie) ;

– Phénotype HLA classe II (dans le cadre du domaine d’intervention en néphrologie).

HEMOSTASE ET COAGULATION :

– Temps de Quick en cas de traitement anti-vitamine K (INR) ;

– Mesure de l’activité anti-facteur X activé (anti-Xa) de l’héparine ou d’un dérivé héparinique.

MICROBIOLOGIE :

– Examen cytobactériologique des urines (ECBU) ;

– Prélèvement cutané ou muqueux.

HORMONOLOGIE :

– TSH ;

– Parathormone (dans le cadre du domaine d’intervention en néphrologie).

ENZYMOLOGIE :

– Lipasémie ;

– Phosphatases alcalines ;

– Transaminases (ALAT et ASAT, TGP et TGO) ;

– Gamma glutamyl transférase (G.G.T.) ;

– Créatine phosphokinase (CPK) ;

– Lactate déshydrogénase (LDH).

PROTEINES MARQUEURS TUMORAUX VITAMINES :

– Protéine C réactive (CRP) ;

– Albumine ;

– Folates sériques ou érythrocytaires ;

– HbA1c (hémoglobine glyquée, suivi de l’équilibre glycémique) ;

– Peptides natriurétiques (BNP, NT-ProBNP) ;

– Ferritine ;

– Marqueurs tumoraux (suivi d’un cancer selon les recommandations en vigueur) ;

– Dosage de la 25-(OH)-vitamine D (D2 + D3) (dans le cadre du domaine d’intervention en néphrologie).

BIOCHIMIE :

– Glycémie ;

– Acide urique ;

– Phosphore minéral ;

– Calcium ;

– Urée ;

– Créatinine avec estimation du débit de filtration glomérulaire (DFG) avec l’équation CKD-EPI ;

– Créatinine avec estimation de la clairance de la créatinine (formule de Cockroft et Gault) pour surveillance des traitements et ajustement des doses ;

– Dosage de la bilirubine ;

– Exploration d’une anomalie lipidique (EAL) (aspect du sérum, cholestérol total, triglycérides, cholestérol-HDL et le calcul du cholestérol-LDL) ;

– Bicarbonates ou CO2 ;

– Ionogramme (potassium, sodium, chlore, bicarbonates, protides totaux) ;

– Saturation en oxygène (SaO2) ;

– Gaz du sang.

URINES :

– Protéinurie ;

– Micro-albuminurie ;

– Ionogramme (potassium + sodium) ;

– Acétone ;

– Acide urique ;

– Calcium ;

– Créatinine ;

– Phosphore minéral ;

– PH :

– Recherche de sang (hématies et/ou hémoglobine) ;

– Glycosurie.

Liste des prescriptions médicales que l’infirmier exerçant en pratique avancée est autorisé à renouveler ou à adapter pour les pathologies dont il assure le suivi

Produits de santé en ce qui concerne les médicaments anti-cancéreux, le renouvellement ou l’adaptation de la prescription s’effectue dans le cadre d’une procédure écrite établie par le médecin.

Actes infirmiers.

 

Un atelier sur ce thème est programmé aux prochaines Rencontres Nationales, le vendredi 7 décembre de 9 heures à 13 heures.

 

 

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