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Accès aux soins

Accès aux soins : les jeunes médecins proposent des solutions

Soucieux d’améliorer l’accès aux soins sur l’ensemble du territoire, les jeunes et futurs médecins s’associent pour proposer des solutions !

Obliger les jeunes médecins à s’installer sur un territoire qu’ils n’ont pas choisi et autres mauvaises idées

En période électorale, les propositions coercitives pour obliger les médecins à exercer “là où on a besoin d’eux”, reviennent systématiquement comme la solution miracle pour résoudre le problème des “déserts médicaux”.

Cette idée simple permettrait donc de régler un problème de répartition de l’offre de soin causé par “ces médecins qui ne veulent pas s’installer à la campagne alors qu’on a payé leurs études”. Problème qui ne devrait d’ailleurs pas exister car “il n’y a jamais eu autant de médecins en France”.

Avant de proposer un traitement, s’assurer de faire le bon diagnostic

Les projets de choisir à leur place le lieu d’exercice des médecins et les arguments pour le justifier ne résistent pas à un examen attentif du problème. Il s’agit avant tout d’une pénurie d’offre de soins et non d’un problème de répartition : déplacer les oasis dans un désert ne le transforme pas en forêt.

Partant de ce constat, les structures représentatives des jeunes médecins (étudiants, jeunes généralistes installés et remplaçants) ont travaillé ensemble pour proposer des solutions concrètes aux difficultés actuelles et à venir d’accès aux soins.

L’Association Nationale des Etudiants en Médecine de France (ANEMF), l’InterSyndicale Nationale Autonome Représentative des Internes de Médecine Générale (ISNAR-IMG) et le Regroupement Autonome des Généralistes Jeunes Installés et Remplaçants (ReAGJIR) vous présentent les résultat de leurs travaux.

Bonne lecture !

Améliorer l’accès aux soins : nos propositions
  • avril 13, 2022
  • 5
  • 1287
  • Documents de proposition
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Comment maintenir un suivi médical pendant la pandémie ?

Communiqué de presse : Comment maintenir un suivi médical pendant la pandémie ? (PDF)

Quand dois-je me déplacer ?

Paris, le 3 décembre 2020. Succès franc et massif pour la téléconsultation, surtout depuis le mois d’avril avec le premier confinement. L’Assurance maladie a remboursé entre mars et avril 5,5 millions de téléconsultations. Actuellement prise en charge à 100% par l’Assurance maladie, elle était auparavant peu répandue et remboursée depuis 2018, seulement dans certaines conditions, comme une consultation physique chez le médecin… Si le deuxième confinement s’est allégé depuis le 28 novembre, il convient toujours de limiter ses déplacements dans la mesure du possible. ReAGJIR, le syndicat représentatif des jeunes généralistes (remplaçants, jeunes installés et universitaires), revient sur les consultations qui peuvent être faites facilement à distance et celles qui nécessitent un déplacement.

Dans quel cas je me déplace au cabinet de mon médecin ?

« Avant toute chose, il convient de redire que la téléconsultation n’est pas la panacée. », rappelle Laure Dominjon, présidente de ReAGJIR. « Dans le contexte de crise sanitaire que nous traversons, elle permet d’éviter que tous les patients ne se déplacent au cabinet, d’éviter la salle d’attente à ceux dont l’état ne nécessite pas une venue et de surveiller à distance ceux atteint du Covid-19 sans complications particulières, mais rien ne remplace le contact avec un patient. Dans certains cas, le patient se confie plus facilement en téléconsultation car l’écran met une certaine distance pour aborder des sujets avec lesquels il n’est pas à l’aise. Mais dans la majorité des cas, le patient préfère être face à son médecin pour partager des informations qui le touchent. »

Pour un renouvellement d’ordonnance de médicaments ou traitements avec des effets secondaires limités sur un patient en bonne santé générale, la téléconsultation peut être indiquée. Dans le cas où le médecin connaît son patient, le professionnel de santé peut arbitrer plus facilement en faveur d’une consultation physique ou d’une téléconsultation. Nombreux sont les médecins qui, auparavant peu convaincus par cette forme de consultation, ont franchi le cap au premier confinement et poursuivent depuis.

Ce qu’il faut savoir

Il ne faut pas renoncer à se soigner ! « En réaction aux annonces qui peuvent être faites, nous nous organisons, comme lors du premier confinement, afin de pouvoir recevoir nos patients dans les meilleures conditions sanitaires possibles. Nous rattrapons encore aujourd’hui le retard du confinement précédent, avec des consultations initialement prévues en mars ou avril qui avait été décalées ou annulées. Nous ne voulons pas que la situation se reproduise à nouveau. Les consultations de suivi sont importantes, les rendez-vous vaccinaux aussi. Nos patients ont peur d’être contaminés ou contaminants mais également de nous déranger dans cette période où les soignants sont très sollicités : s’ils ressentent le besoin de consulter, nous sommes là ! », rassure Clément Menigoz, secrétaire général de ReAGJIR. Les attestations de déplacement mises en place par le gouvernement proposent une case dédiée au maintien de ces rendez-vous médicaux : « 3. Consultations et soins. Consultations, examens et soins ne pouvant être assurés à distance et l’achat de médicaments ».

Dans certaines situations un retard de prise en charge peut s’avérer dangereux. Et les nouveaux modes de vie liés aux confinements ne vont pas aider à se maintenir naturellement en bonne santé : pratique sportive insuffisante, sédentarité, apparition ou aggravation de troubles addictifs (alcool, tabac, drogue, jeu, etc.), isolement, etc. « Parmi les missions du médecin généraliste, il y a certes le soin et l’écoute mais il y a aussi le volet prévention et hygiène de vie. Nos patients diabétiques ou insuffisants cardiaques par exemple connaissent les risques et recommandations liés à leur pathologie chronique, mais pour les autres patients nous profitons en général des consultations pour faire de la prévention. Cet aspect est plus compliqué à aborder en téléconsultation. », explique Laure Dominjon. « D’autres éléments sont difficiles à évaluer ou à détecter en téléconsultation comme d’éventuelles maltraitances ou violences, d’évaluer le bon développement d’un enfant, de suivre l’évolution d’un traitement chez un patient chronique, etc. Nous recommandons d’opter pour la téléconsultation quand cela est possible en accord avec son médecin traitant et de réaliser des consultations physiques notamment en cas d’urgence ou besoin d’un examen physique approfondi. S’il se révèle que la téléconsultation était insuffisante, le professionnel de santé donnera un rendez-vous dans son cabinet au patient. »

Les jeunes généralistes de ReAGJIR pensent que la téléconsultation est un outil utile et efficace mais que c’est au praticien d’affiner son jugement au vu du motif de la consultation et de sa connaissance du patient. « Pour lutter contre la Covid-19, le mieux reste que chacun prenne ses responsabilités et applique le triptyque « protéger, tester, isoler ». Si je suis symptomatique par exemple, je m’isole avant d’avoir même fait le test et je prends contact avec mon médecin généraliste pour être testé. », rappelle Laure Dominjon. « Pour la suite, il nous faudra attendre un vaccin validé. Nous savons qu’une campagne de vaccination est pertinente pour contrôler certaines pandémies et endémies, comme cela est fait pour la poliomyélite ou la rougeole : dans les pays où la population est majoritairement vaccinée, ces maladies disparaissent. Pour le moment, nous manquons de données : quelle efficacité attendue de ces vaccins ? pour quel public ? combien de doses seront nécessaires ? protégeant pour quelle durée ? Nous attendons d’avoir plus d’informations pour pouvoir participer à cette nouvelle phase de contrôle de la pandémie de Covid-19. »


À propos de ReAGJIR
ReAGJIR est le Regroupement Autonome des Généralistes Jeunes Installés et Remplaçants en France. Créé en janvier 2008, ce syndicat regroupe et représente les remplaçants en médecine générale, les médecins généralistes installés depuis moins de 5 ans et les jeunes universitaires de médecine générale (chefs de clinique, maîtres de stage des universités, enseignants de médecine générale). Fédération de syndicats régionaux, la structure accompagne et défend l’exercice du métier par ces trois types de professionnels et milite pour la construction d’un système de santé à l’image des jeunes généralistes : innovant, collaboratif, humain et solidaire.
ReAGJIR C/O Collège de la Médecine Générale 6 place Tristan Bernard 75017 PARIS


Contacts presse

  • Pauline SAINT-MARTIN | 06 83 00 57 40 –
  • Anne-Lise VILLET | 06 28 47 30 01 –
  • Dr. Laure DOMINJON | 06 42 18 40 14 –
  • décembre 3, 2020
  • 3
  • 1012
  • Communiqué de Presse
  • More

Hospitalisation sous contrainte

L’hospitalisation sous contrainte peut être demandée si le patient remplit 2 conditions :

  • des troubles mentaux rendent impossible son consentement,
  • un état de santé nécessitant des soins immédiats assortis d’une surveillance médicale constante ou régulière.

Au terme de la démarche, il sera mis en surveillance dans une unité psychiatrique pendant au maximum 72h avant de décider de la suite de l’hospitalisation. À 24h et 72h le patient est réévalué par un psychiatre qui rédige un certificat pour maintenir ou non l’hospitalisation. La mesure peut donc être levée dès les premières 24h si elle n’est pas justifiée.

Selon la situation, les certificats à fournir ne sont pas les mêmes, voici donc un petit récapitulatif des situations et de ce qu’elles nécessitent, ainsi qu’un focus sur notre rôle de médecin généraliste.

Cadre juridique

Un tiers est présent : les soins psychiatriques à la demande d’un tiers (SPDT)

Certificat pour soins à la demande d’un tiers

Il peut être rédigé par un membre de la famille du patient ou tout autre personne justifiant de l’existence de relations antérieures avec le patient. Le tiers ne doit pas travailler dans l’établissement d’accueil.

Les certificats médicaux

On y détaille les symptômes présentés par le patient, il n’est pas nécessaire d’y faire figurer un diagnostic.

En l’absence de caractère d’urgence : SPDT simple

2 certificats médicaux datant de moins de 15 jours, dont au moins un rédigé par un médecin n’exerçant pas dans l’établissement d’accueil : par exemple, le médecin généraliste. Art. 3212-1 du Code de Santé publique

Si urgence : SPDT d’urgence

Le directeur de l’établissement peut prononcer l’admission à la demande du tiers, avec un seul certificat (datant de moins de 15 jours) émanant d’un médecin de l’établissement. Dans ce cas les certificats établis à 24 et 72h seront établis par des médecins autre que le médecin qui rédige le premier certificat. Art. 3212-3 du Code de Santé publique

En cas de « péril imminent » en l’absence de tiers : les soins psychiatriques en cas de péril imminent (SPPI)

L’admission peut être prononcée sur le seul certificat datant de moins de 15 jours rédigé par un médecin n’exerçant pas dans l’établissement d’accueil. Art. 3212–1 du Code de Santé publique

En cas de trouble à l’Ordre public : les soins psychiatriques à la demande du représentant d’état (SPDRE)

L’admission en soins psychiatrique sous contrainte peut être effectuée sur demande du préfet – ou du préfet de Police à Paris (Art. 3213-1 du Code de Santé publique). En cas de péril imminent, le maire – ou les commissaires de police à Paris – peut sur arrêté municipal provisoire demander l’hospitalisation (Art. 3213-2 du Code de Santé publique)

Un certificat médical datant de moins de 15 jours doit être rédigé par un médecin n’exerçant pas dans l’établissement d’accueil.

En cas de péril imminent, un arrêté préfectoral doit être déposé dans les 48h après l’arrêté municipal sinon la mesure est caduque.

Ressources

Pour mieux s’y retrouver, voici un arbre simple avec des modèles de certificats à télécharger.

Le Psycom recense les lieux où les personnes peuvent s’adresser en cas de difficultés : les urgences psychiatriques ou même les urgences générales, mais il existe aussi des Centres d’accueil de crise (CAC) dédiés aux moments de crise psychique.

En médecine générale

On peut être confronté à des personnes qui signalent un proche en grande détresse psychique mais qui refuse de se déplacer pour consulter ou aller aux urgences. Plusieurs solutions sont alors possibles :

  • Conseiller à la personne de faire le 15 en expliquant la situation et en demandant une hospitalisation sous contrainte. Les pompiers, l’équipe médicale et parfois la police peuvent alors se rendre sur place. Ce n’est malheureusement pas toujours opérationnel.

  • Dans certains secteurs psychiatriques, des équipes mobiles peuvent intervenir à domicile en cas de crise. Il peut être utile de se renseigner auprès de ces structures de secteur pour anticiper ce genre d’événements. Exemples : l’équipe psychiatrique d’intervention de crise (EPIC) à Bordeaux ou l’équipe rapide d’intervention de crise en Seine-et-Marne et dans les Yvelines (ERIC).

  • Si on décide de se déplacer à domicile pour réaliser un certificat, penser à sa sécurité avant tout. Un patient potentiellement agressif nécessite de contacter le 15 pour discuter d’une intervention adaptée.
  • septembre 11, 2020
  • 5
  • 16997
  • La Minute de ReAGJIR
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Municipales

Les jeunes médecins proposent des solutions

Communiqué ReAGJIR – Paris, le 10 mars 2020.

J-5 avant le début des élections municipales, et l’accès aux soins tient une place importante dans les programmes des maires : tous s’en préoccupent et certains vont rivaliser de propositions, parfois inadaptées, pour essayer d’avoir leur médecin généraliste. ReAGJIR, le syndicat représentatif des généralistes remplaçants, jeunes installés et chefs de clinique, partage sa vision du système de soins.

Moins de médecins, nouvelle échelle

« Pour commencer il faut bien comprendre que nous allons continuer à perdre environ 1 000 médecins généralistes par an quand la population, de son côté, vieillit. L’accès aux soins sera de plus en plus difficile jusqu’en 2025, et ce aussi bien en ville qu’en milieu rural. », rappelle Laure Dominjon, Présidente de ReAGJIR. Les jeunes médecins en sont parfaitement conscients : c’est leur quotidien et, contrairement à ce qu’on peut lire parfois, ils s’en inquiètent. La première difficulté aujourd’hui est d’accepter un changement d’échelle dans le système de soins, nécessaire pour une prise en charge efficace et équitable des patients. Chaque village, chaque ville ne pourra pas avoir son médecin généraliste : il n’y en a pas assez. « Aujourd’hui il faut réfléchir à une prise en charge globale d’un bassin de patients par un ensemble de professionnels de santé qui travaillent en réseau et communiquent. C’est d’ailleurs le principe des CPTS, Communautés Professionnelles Territoriales de Santé, créées par la loi Ma Santé 2022, nouveaux échelons de prise en charge des patients à mettre en place, développer et sur lesquels s’appuyer. », défend Barbara Trailin, Vice-présidente de ReAGJIR. L’enjeu ne sera pas d’attirer son médecin pour ses administrés mais de repenser l’accès aux soins à plus large échelle pour en faire bénéficier le plus grand nombre et assurer une permanence des soins.

Une méconnaissance des jeunes médecins

Autre problème observé parfois : la méconnaissance ou mauvaise connaissance des jeunes médecins et de leurs aspirations. « Pouvoir faire des activités ludiques ou profiter d’avantages en nature, c’est sympa, mais jamais ça ne déterminera un projet d’installation chez un jeune diplômé. Ce qui l’intéresse avant tout c’est son quotidien professionnel et personnel : y a-t-il un hôpital de proximité ? d’autres professionnels de santé ? travaillent-ils ensemble ou chacun de leur côté ? y a-t-il internet ? des services de proximité ? mon conjoint trouvera-t-il un travail ? y a-t-il une crèche ou une école ? Autant de questions qui seront déterminantes pour que l’installation se fasse dans de bonnes conditions et sur la durée. », explique Laure Dominjon. Pas d’excès, pas de surenchères. Un médecin s’installe en général dans une région qu’il connaît : l’externat, l’internat et le remplacement sont entre autres faits pour découvrir un territoire et un mode d’exercice (libéral, salarié, exercice mixte).

Des solutions existent

La coercition n’est toujours pas la solution : forcer un jeune médecin à s’installer quelque part est le meilleur moyen de le dégoûter au mieux de l’exercice libéral au pire de son métier. Des pays voisins comme l’Allemagne l’ont tenté, sans succès. La meilleure solution est d’attirer les jeunes dans les territoires, et ce avant même qu’ils commencent leurs études de médecine. Quand ils sont étudiants ensuite, externes ou internes, les aider dans leurs déplacements ou leurs hébergements entre autres peut favoriser leur découverte du territoire. Ce sont aussi les médecins qui les accueillent pour les former, maîtres de stage des universités, qui peuvent être accompagnés par les élus. « Un externe, interne ou remplaçant qui apprécie un territoire ou une façon de travailler se projettera plus facilement dans son installation. Et lors de celle-ci, les élus peuvent accompagner le projet professionnel et personnel en présentant les interlocuteurs importants au bon déroulement de cette installation, en aidant à la mise en relation entre professionnels de santé, éventuellement en proposant des aides le temps que l’activité fonctionne, en facilitant l’exercice mixte (cabinet en ville et permanence en PMI par exemple), etc. », détaille Barbara Trailin.

Conscients et soucieux de cette difficulté d’accès aux soins que rencontrent tous les Français, ReAGJIR, le syndicat représentant les étudiants en médecine (ANEMF), et celui représentant les internes en médecine générale (ISNAR-IMG) ont décidé de se mobiliser afin de sensibiliser leurs confrères et d’avancer aux côtés des élus pour appréhender au mieux les enjeux de l’installation et agir grâce à des propositions concrètes, à travers un guide.

A propos de ReAGJIR – www.reagjir.fr

ReAGJIR est le Regroupement Autonome des Généralistes Jeunes Installés et Remplaçants en France. Créé en janvier 2008, ce syndicat regroupe et représente les remplaçants en médecine générale, les médecins généralistes installés depuis moins de 5 ans et les jeunes universitaires de médecine générale (chefs de clinique, maîtres de stage des universités, enseignants de médecine générale). Fédération de syndicats régionaux, la structure accompagne et défend l’exercice du métier par ces trois types de professionnels et milite pour la construction d’un système de santé à l’image des jeunes généralistes : innovant, collaboratif, humain et solidaire.

ReAGJIR C/O Collège de la Médecine Générale 6 place Tristan Bernard 75017 PARIS

Contacts presse

Pauline SAINT-MARTIN | 06 83 00 57 40 –

Anne-Lise VILLET | 06 28 47 30 01 –

Dr. Laure DOMINJON | 06 42 18 40 14 –

https://reagjir.fr/wp-content/uploads/2020/03/200310-Communiqué-ReAGJIR-Municipales.pdf

  • mars 10, 2020
  • 5
  • 1281
  • Communications de ReAGJIR, Communiqué de Presse
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Accès aux soins des personnes étrangères vulnérables : 61 organisations tirent la sonnette d’alarme. Le Gouvernement n’entend pas.

Communiqué de presse commun – 18 décembre 2019

61 organisations interpellent aujourd’hui Agnès Buzyn, Ministre des Solidarités et de la Santé, alors que le Gouvernement s’attache à restreindre l’accès aux droits et aux soins des personnes étrangères vulnérables. Après avoir soutenu la pétition des médecins ayant recueilli 6 000 signatures[1], les associations de terrain et les organisations de professionnels·les de santé alertent à nouveau sur les conséquences graves de cette politique, représentant un recul sans précédent pour les droits des étrangers·ères et la santé publique en France.

Ces décisions transformeront encore un peu plus l’accès aux soins en un parcours du combattant et feront peser une pression supplémentaire sur les équipes hospitalières, les centres de santé associatifs, les caisses d’assurance maladie et les finances publiques.

À ce jour, aucune réponse adaptée n’a été apportée pour anticiper ces bouleversements. C’est pourquoi nos organisations renouvellent leur appel à ne pas déstabiliser l’insertion déjà fragile des personnes étrangères et à ne pas affaiblir le travail des professionnels·les de santé et du médico-social.

  • décembre 19, 2019
  • 4
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  • Communications de ReAGJIR, Communiqué de Presse
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